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Je commence par cette phrase capturé, à travers le livre d'Ivan Illich dans le Vignoble du texte, par Didascalicon de Hugues de Saint-Victor, ma contribution au Journal. . Parmi les nombreuses idées que la lecture Illich à condition que cela est un de ceux qui m'a le plus impressionné . La traduction de cette phrase, (il peut être trouvé à la note 23, p 140 du Vignoble du texte est comme suit: "Vous serez plus sage que tout, si vous êtes prêt à apprendre de tout le monde. Qui reçoit tout, est le plus riche de tous. Ne méprisez pas court à toute forme de connaissance, parce que toute connaissance est bonne". Probablement ces mots Ugo visent à répondre à ses élèves , tous ces jeunes gens qui nous ont approchés comme le dit Illich, l'activité monastique, ou au moins à la masse indéfinie de moines qui aspiraient, à travers l'étude, la «sagesse» (premier sapientia est expetendorum Omnium, ici sous la forme consistit perfecti facie, De toutes les choses à rechercher en premier est la sagesse, dans laquelle réside la forme de bien parfait). Je tiens à prendre un prêt au lieu de mettre en évidence ce qui se passe, en prenant cette distance de généralisations inutiles et inappropriées, en partie quell'infinitesimale vie, les relations, le travail et l'étude dans le XXI siècle, moi vivant. Et comme ça, après neuf siècles, et avec toutes les améliorations, innovations et les révolutions industrielles, culturelles et surtout la technologie que nous avons vécu et continuent à vivre, il est encore très loin d'une interprétation et une application correcte, car pour moi Il doit être interprété l'expression de Hugh, ce que dit le Monaco saxonne. Je me réfère à cette distance, sinon la méfiance, pratiquée par des personnes, pas plus jeune (et comme vous le verrez plus tard, non seulement par eux) et étudie toujours avec un maximum moyen, contre la technologie moderne et de nombreuses possibilités et les avantages que ces technologies peuvent être mises à disposition. Laissez-moi vous expliquer. Les paroles de Hugh ... apprendre de tous ... ... ... ... obtenir tout ne méprise pas toute forme de connaissance, car toute connaissance est bonne ..., je l'attribue une signification qui va au-delà du soleil et de toutes les personnes, la connaissance, pour moi pas seulement sur les choses que vous apprenez dans les livres, mais aussi, et surtout, combien vous pouvez apprendre, apprendre, d'améliorer et de grandir en sachant comment exploiter les technologies que nous offrons maintenant. Je suis assez chanceux pour vivre dans les derniers mois deux expériences particulièrement significatives et de la formation que je tiens absolument à se rapprocher parce que je crois que sont mutuellement explicatif d'un état de choses. D'une part, un cours d'initiation à l'e-learning que la fonction publique où je travaille et je prends soin de l'éducation de l'entreprise et d'autres cours d'enseignement et d'apprentissage Technologies, tenu par les professeurs. Maragliano et Martini, dans le baccalauréat en éducation et développement des ressources humaines à Rome Trois. Dans le premier, je ont malheureusement dû assister à l'abandon du cours d'e-learning de près de 50% de mes collègues qu'ils se sentaient , tout de suite, une méthode de transmission de connaissances qui ne lui plaisait pas et surtout pourrait mettre sérieusement en question, malgré les enseignants ont essayé de parler de possibilités mixtes et de réduire les coûts, le mode de formation de straconsolidata en présence (pour être honnête tout 'Démarrer l'nourri quelques doutes aussi). Voici le point: je pense que mes collègues, avec le sentiment d'isolement et échapper vers la nouvelle e-learning, il a, au cours, rejeté les paroles de Hugh. Et venant dans l'autre sens, l'université , que, pour une période de temps, a lieu en parallèle avec celle tenue dans le bureau. Et 'ici que je l'ai vu, et encore il fait remarquer, l'importance, l'engagement, et de faire avancer le travail que vous pouvez jouer en dehors du prétoire. Dans les mots du Professeur Maragliano dans l'une des premières réunions, un point de vue en cours structurés peuvent ouvrir plus mature mais aussi la plus difficile. Je confirme! En fait, il nous tous, professeurs, assistants et étudiants nous nous sommes aventurés dans un travail d'analyse, de recherche, de discussion, parfois même de "défi", mais toujours et avant tout partager dans et en dehors de la classe, à partir les deux textes dans le programme, systématiquement, avec un effet élastique, il reculait élargir les horizons et de découvrir de nouvelles façons de savoir qui ont ensuite été ré-examinée à nouveau et prêts élargi, tout le livre d'Illich, la valeur de départ et la première guider la lumière alors. Nous avons des sujets en profondeur, tels que nos lectures du passé et du présent de parler de la matérialité de l'acte de lecture, de la route, les lieux, les sentiments, les milieux de lectures qui ont "pris". Avec une longue liste de liens, nous avons trouvé qui était Ugo, ses pensées, son travail et, surtout, son Didascalicon que le réseau nous a permis de voir dans son intégralité et nous a fait revenir à cette merveilleuse langue, mais poussiéreux qui est latine. Nous "laissé tomber" dans certaines bibliothèques à travers la frontière où nous pouvions voir les manuscrits du Moyen Age et de la Bible de Gutenberg. Très nous nous sommes concentrés sur l'importance de la lumière, la lumière, en parlant de manuscrits enluminés et l'importance de lettres d'or au Moyen Age , où la lumière est entendu comme immanent dans le monde des choses médiévales, que l'œil de l'observateur sont présentés comme des sources de leur luminosité. Et à partir de là la comparaison avec l'art de la Renaissance de Luca Signorelli et du Caravage fiers de leur capacité à peindre des objets opaques et, en plus, la lumière qui les rend "on". Alors commença le temps des Chartreux et leurs pratiques. Nous l'avons fait avec la vision, parfois saper, le film "Le Grand Silence" de Philip Gronig. Le film, que le film aurait probablement pas jamais vu et il ne sera certainement pas eu les recettes de la grossièreté de Noël a, à mon avis, un autre énorme fenêtre ouverte sur la façon dont vous pourriez vivre et étudier au moment de Ugo standocene confortablement assis dans la salle de classe de l'Université. Avec le directeur nous sommes entrés dans la Chartreuse où "nous avons vécu", avec les moines, les moments de leurs jours de prière, de silence, d'étude, de la méditation et même leurs amusements simples. Nous avons entendu des bruits dans nos oreilles entreprise étrangers, dans un grand silence à laquelle nous ne sommes pas habitués à vivre, assumer des significations très différentes. Contrairement à ce qui se produit généralement avec des textes de niveau collégial où l'auteur de l'examen de livres, vous savez toujours trop peu, nous avons approfondi, toujours à travers les nombreux liens hypertextes fournis premier et élargis plus tard, la vie et la pensée de cette "anti-mondialisation" avant la lettre qui est Ivan Illich. Dans une autre importante de son travail est cette société où il faut viser à l'enseignement obligatoire appeler une marginalisation totale d'usine déscolarisation, nous aperçûmes ses idées "prémonitoire" sur le réseau quand il dit l'alternative la plus radicale à l'école serait un réseau ou d'un service qui offrira à chacun la même opportunité de partager ce qui l'intéresse en ce moment avec d'autres personnes qui partagent votre même intérêt. Et en parlant de partager les mêmes lectures dans certains d'entre nous a eu l'idée d'introduire la Groupe site http://www.anobii.com/anobi/anobii_home.php où chacun peut recréer leur bibliothèque en ligne de mettre tous les livres qui ont été lus et indiquer si, quand, à taux de change et ci-dessus pour ajouter un commentaire . Authentique, découverte passionnante! Et pourtant, sur le potentiel du réseau, nous avons parlé de l'dell'amore.it boom où maintenant une personne sur cinq couples nés de surfer sur Internet et a trouvé que, en Italie de trois millions et demi de personnes recherche web et l'épouse parfaite est maintenant en ligne (!). Enfin, en parlant sur les différences entre le courrier physique et virtuel, entre l'écriture sur un morceau de papier et écrivez sur l'ordinateur, nous sommes venus, inévitablement, de toucher la relation entre la technologie et le sentiment. Personnellement, je me pris un peu de temps pour comprendre (bien sûr ne signifie pas qu'elle a fait, mais permettez-moi la présomption) ce que les enseignants ont essayé de nous quand dès la première leçon, était le 23 Octobre en 2007, ils ont parlé de vouloir jouer beaucoup de cours en ligne. Ils ont dit que le réseau était plus à l'aise et que le but de ce cours était d'étudier le fonctionnement de l'enseignement. Ils ont dit que "la tâche" rend les étudiants des classes plus homogènes et que nous devions nous sentir plus comme une «communauté» qui parle à tout le monde plutôt que d'une «classe» qui parle seulement avec le professeur. Ils ont demandé à l'effort de sortir de la logique d'étude plus tard, en anticipant le temps d'apprentissage qui ne doit pas être séparé de l'éducation. Comment pouvons-nous dans l'analyse a été expliqué que pendant le cours aurait pas donné des réponses, mais Ils auraient des questions induites. Et pourtant ... des choses comme si je l'explique le livre, je annuler la lecture du livre. Donc, je essayer de vous aider à avoir un point de vue différent de regarder le livre. Maintenant, nous en sommes venus presque jusqu'à la fin (un mot qui, si je comprends bien, à ce point devrait être vidé de son sens) de notre expérience avec tous ces technologies Enseignement et apprentissage Je pense que nous poss
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