Il termine “Shoah” (in ebraico sign

Il termine “Shoah” (in ebraico significa “catastrofe”) nemmeno esisteva ai tempi del processo di
Norimberga (1946). Venne introdotto successivamente nel linguaggio collettivo, quando da tragico
evento storico, le deportazioni degli ebrei nei campi di concentramento, dovevano diventare un
episodio memoriale, dunque, sacro. Sono le nuove generazioni, quelle nate dopo la seconda guerra
mondiale (sic!), a subire la ritualizzazione martellante di questa nuova religione. Pellegrinaggi
scolastici ad Auschwitz, gite nei musei della memoria, giornate di raccoglimento, minuti di silenzio,
proiezioni pubbliche di film documentari, fanno di contorno ai suoi sacerdoti, ai suoi luoghi santi, ai suoi
martiri, ai suoi miracoli, ai suoi miracolati, ai suoi missionari, alle sue reliquie, ai suoi dogmi, ai suoi
demoni. Così la Shoah si è goffamente sacralizzata a tal punto che la “Legge Mancino” ha vietato ogni
forma di “bestemmia storica” mentre l’accusa di “antisemitismo”, introdotta mediaticamente negli anni
Settanta per mascherare le offensive militari israeliane nel Vicino Oriente, si è trasformata in un’arma
per discreditare storici e giornalisti. Più si allontanano quegli anni di violenza, più il romanzo di quegli
anni diventa grottesco, emotivo, illogico.
Il primo a denunciarlo fu lo stesso Norman Finkelstein, figlio di deportati, che nel suo saggio L’industria
dell’Olocausto. Lo sfruttamento della sofferenza degli ebrei scrisse: “l’attuale campagna dell’industria
dell’Olocausto per estorcere denaro all’Europa in nome delle ‘vittime bisognose dell’Olocausto’ ha
ridotto la statura morale del loro martirio a quella di un casinò di Montecarlo”. Dall’elezione di Miss
Olocausto ai falsi sopravvissuti passando per i master di primo livello in “Didattica e comunicazione
della memoria della Shoah e della cultura della tolleranza”, le cerimonie commemorative hanno
raggiunto un livello talmente ridicolo che si stanno rivelando contro-producenti agli occhi dell’opinione
pubblica.
Nell’Occidente desacralizzato e dollarizzato non poteva essere altrimenti. Già il cristianesimo, prima
ancora delle deportazioni degli ebrei da parte del governo nazional-socialista tedesco, aveva subito la
stessa sorte. La passione di Cristo è diventata ormai da qualche anno oggetto di derisione pubblica.
Gli artisti ci urinano sopra, le Femen si infilano i crocefissi tra le gambe, mentre la rivista satirica e
blasfema Charlie Hebdo viene considerata dai benpensanti come l’emblema della libertà di
espressione. L’Olocausto, desacralizzato ogni anno che passa dai suoi affabulatori, continua a
conservare con la forza la sua dimensione sacra (chi bestemmia se la vede con la giustizia). Due pesi
e due misure. Esistono religioni di prima categoria e religioni di seconda categoria. Esistono massacri
di prima categoria e massacri di seconda categoria. Come del resto esistono ebrei di prima categoria
ed ebrei di seconda categoria. Non crederete mica che Benjamin Netanyahu valga quanto Norman
Finkelstein.

Résultats (Français) 1:

Le terme « Shoah » (« catastrophe » qui signifie en Hébreu) a même existé au moment du processus deNuremberg (1946). Plus tard, a été introduit dans la langue, quand collective du tragiqueévénement historique, les déportations de Juifs dans les camps de concentration, devaient devenir uneépisode, par conséquent, monument sacré. Sont la nouvelle génération, ceux qui sont nés après la seconde guerre mondiale(sic!), à souffrir de la ritualisation de marteler cette nouvelle religion. Pèlerinagesvoyages scolaires à Auschwitz, dans les musées de la mémoire, les jours de récollection, minute de silence,projections publiques de films documentaires, faire ses prêtres contours, ses lieux saints, sesMartyrs, ses miracles, ses miracles, ses missionnaires à ses reliques, ses dogmes, sesdémons. Donc l'Holocauste a été maladroitement sacralisée à tel point que la « Lefty » interdit tousforme de blasphème « historique », tandis que l'accusation de "l'antisémitisme", présenté dans les médias mixtesSoixante-dix pour masquer les offensives militaires israéliennes au Moyen-Orient, s'est transformé en une armepour discréditer les historiens et les journalistes. Plus vous vous détournez ces années de violence, plus de ces nouvellesans devient grotesque, émotionnelle, illogique.Le premier à s'exprimer était le même Norman Finkelstein, le fils de déportés, qui dans son essai sur l'industriede l'Holocauste. L'exploitation de la souffrance des Juifs a écrit: "la campagne actuelle de l'industriel'Holocauste à extorquer de l'argent à l'Europe au nom de « victimes de l'Holocauste dans le besoin »morale de stature réduite leur martyre à un casino de Monte Carlo ". Depuis l'élection de MissSurvivants de l'Holocauste à false en passant le premier maître de niveau en "enseignement et de la communicationla mémoire de l'Holocauste et d'une culture de tolérance ", les cérémonies commémoratives ontatteint un niveau tellement ridicule que vous prouvez contre-productif dans les yeux de l'opinionpublie.Dans l'Ouest dollarizzato désacralisés et ne pouvait en être autrement. Déjà, avant le christianismeencore la déportation des Juifs de gouvernement National socialiste allemand, avait fait l'objetmême sort. La passion du Christ est devenu ces dernières années l'objet de dérision.Les artistes nous urinano ci-dessus, vous pousser le Femen crucifié entre les jambes, tandis que la revue satirique etblasphématoire Charlie Hebdo est considéré par les conservateurs comme l'emblème de la liberté deexpression. L'Holocauste, désacralisé chaque année qui passe par son affabulatori, continue àgarder par la force sa dimension sacrée (environ blasphème si il voit avec la justice). Deux poidset deux tailles. Il y a des religions de première classe et deuxième Class religions. Il y a massacresmassacres de premier ordre et médiocre. Comme il ya des Juifs de première catégorieet les Juifs de la seconde catégorie. Vous n'en croirez pas valeur de que Benjamin comme NormanFinkelstein.

Résultats (Français) 2:

Le terme «Shoah» (hébreu pour «catastrophe») existait même à l'époque du procès de
Nuremberg (1946). Il a été introduit plus tard dans la langue collective, quand, par tragique
événement historique, déportation des Juifs vers les camps de concentration, devait devenir un
épisode commémoratif, donc sacré. Ils sont la nouvelle génération, ceux qui sont nés après la Seconde Guerre
mondiale (sic!), de subir martèlement ritualisée de cette nouvelle religion. Pèlerinages
à l'école Auschwitz, visites de musées de la mémoire, des journées de récollection, des moments de silence,
des projections publiques de films documentaires, ils exposent ses prêtres, ses lieux saints, ses
martyrs, ses miracles, ses miracles, le ses missionnaires, ses reliques, ses dogmes, ses
démons. Donc, l'Holocauste a été maladroitement sanctifié au point que la «loi Mancino" interdit toutes les
formes de «blasphème historique", tandis que l'accusation de «l'antisémitisme», qui a été présenté par les médias dans les années
seventies pour masquer l'offensive militaire israélienne au Moyen-Orient, Il est transformé en une arme
pour discréditer les historiens et les journalistes. La plupart se détournent de ces années de violence, la plus nouvelle de ces
années devenir grotesque, émotionnelle, illogique.
Le premier à signaler était la même Norman Finkelstein, fils de déportés, qui, dans son essai L'industrie
de l'Holocauste. L'exploitation de la souffrance des Juifs a écrit: "l'industrie de la campagne actuelle
de l'Holocauste à extorquer de l'argent de l'Europe dans le nom de «victimes de l'Holocauste dans le besoin» a
réduit la stature morale de leur martyre à celle d'un casino de Monte-Carlo ». Élection de Miss
survivants de l'Holocauste par le biais de faux diplôme de master en "éducation et la communication
de la mémoire de l'Holocauste et de la culture de la tolérance ", les services commémoratifs ont
atteint un niveau tellement ridicule qui révèle contre-productif dans les yeux le grand
public.
Dans le dollarisée Ouest et sécularisé ne pouvait pas en être autrement. Même le christianisme, avant
même la déportation des Juifs par le gouvernement national-socialiste allemand, avait subi le
même sort. La passion du Christ est devenue depuis quelques années l'objet de la risée publique.
Les artistes que nous uriner dessus, les crucifix Femen sont pris entre ses jambes, et alors que le magazine satirique
Charlie Hebdo est considéré comme blasphématoire par le bien-sens comme le symbole de la liberté de
expression. L'Holocauste, sécularisé chaque année passant de sa conteur, il continue à
maintenir par la force sa dimension sacrée (qui blasphème si il voit la justice). Deux poids
et deux mesures. Il ya des religions de première classe et des religions de seconde classe. Il ya des massacres
de première classe et les massacres de seconde classe. Comme d'ailleurs il ya des Juifs de première classe
Juifs et de seconde classe. Vous ne croyez pas que le mica, Benjamin Netanyahu, vaut ce que Norman
Finkelstein.

Résultats (Français) 3:

Le terme "Shoah" (en hébreu signifie " catastrophe ") même existé dans le temps du processus de
Nuremberg (1946). Il a été introduit plus tard en langue collective, lorsque de tragiques
événement historique, les déportations de Juifs dans les camps de concentration, devaient devenir une
épisode memorial, par conséquent, sacré. Sont les nouvelles générations, ceux qui sont nés après la deuxième guerre
Monde (sic! ), à subir les cognements ritualizzazione de cette nouvelle religion. Pèlerinages
school à Auschwitz, visites des musées de la mémoire, des journées de recueillement, minutes de silence,
visionnages publics de films et de documentaires, faire de contour à ses prêtres, ses lieux saints, son
martyrs, ses miracles, ses miracles, ses missionnaires, à ses reliques,Ses dogmes, son
démons. Ainsi, la Shoah, et maladroitement ou même sacralized de telle façon que la loi "gaucher" a interdit toute forme de "blasphème
historique" alors que l'accusation de "antisémitisme", introduite dans les années évidemment média
Soixante pour masquer l'offensive militaire israélienne au Moyen-Orient, a été transformée en une arme
à discréditer les historiens et journalistes.Plus éloigner de ces années de violence, plus le roman de ceux
ans devient grotesque, émotionnel, illogique.
Le premier à le dénoncer a été la même Norman Finkelstein, le fils de déportés, qui dans son essai industrie
de l'Holocauste. L'exploitation des souffrances des Juifs a écrit : " La campagne actuelle de l'industrie
De l'holocauste d'extorquer de l'argent pour l'Europe au nom de "victimes dans le besoin de l'holocauste" a
réduit la stature morale de leur martyre à celle d'un casino de Monte Carlo". Par l'élection de Miss
Holocauste sur faux survivants passer pour le premier niveau de master en " Éducation et communication
de la mémoire de la Shoah et de la culture de la tolérance",Les cérémonies commémoratives ont
atteint un niveau tellement ridicule que se révèlent contre-production dans les yeux du monde
public.
dans l'Ouest et dollarizzato desacralized ne pouvait pas en être autrement. Déjà le Christianisme avant
encore de la déportation de Juifs par le gouvernement national-socialiste allemand, avait subi le
même sort.La passion du Christ est devenue en quelque année objet de dérision public.
les artistes nous urinate ci-dessus, les femen bousculer les crucifix entre les jambes, alors que la revue satirique et
blasphématoire Charlie Hebdo est considérée de conformistes comme emblème de la liberté d
expression. L'holocauste, profanés chaque année qui passe par ses plus honnête, continue de
Garder avec la vigueur de sa dimension sacrée (qui blasphème s'il voit la justice). Deux poids
, deux mesures. Il y a des religions de première catégorie, et religions de deuxième catégorie. Il y a des massacres
de première catégorie et des massacres de deuxième catégorie. Comme pour le reste, il y a des Juifs de première catégorie
et juifs de deuxième catégorie.Vous n'en croirez pas mica que Benjamin Netanyahou vaut ce que Norman
Finkelstein.