Le aggressioni a sfondo razzista, a

Le aggressioni a sfondo razzista, a Gerusalemme, non sono tutte uguali. Lo sa bene Tommy Hassom, 21 anni, druso con cittadinanza israeliana, che la settimana scorsa è stato assalito e picchiato selvaggiamente da alcuni estremisti ebraici per aver parlato arabo con un amico. Assieme alla carte di dimissione, infatti, il ragazzo si è trovato anche il conto dell’ambulanza che lo ha trasportato dalla stazione degli autobus di Gerusalemme all’ospedale Hadassah: 475 shekel (circa 120 dollari), uno schiaffo in faccia a una vittima di quello che le autorità israeliane stesse chiamano un “attacco terroristico”.

La storia di Hassom, che ha appena terminato il servizio militare dove ha servito nell’unità speciale drusa Herev di guardia al palazzo presidenziale, è diventata un caso in Israele. Nato a Daliyat al-Karmel, villaggio a maggioranza drusa vicino Haifa, il giovane si è trasferito a Gerusalemme dopo il servizio militare per frequentare l’Accademia di Musica e Danza. Una settimana fa, uscito dall’hotel in cui lavora, stava parlando con un suo amico in arabo, quando è stato circondato da un gruppo di ragazzi da lui riconosciuti come ebrei “che portavano la kippah”.

Dopo le prime vessazioni verbali, gli hanno sputato e lo hanno picchiato con bottiglie di vetro finché non è riuscito a scappare verso la stazione degli autobus, dove alcune persone lo hanno protetto e chiamato un’ambulanza. E’ stato trattenuto due giorni in ospedale per le ferite riportate in tutto il corpo e dovrà tornare per un’operazione al naso. Il capo dello stato Reuven Rivlin ha postato sulla sua pagina Facebook una foto scattata con il ragazzo, deplorando l’aggressione a una persona “così legata a questo paese”. “Siamo tutti fratelli – ha scritto il presidente israeliano – e dobbiamo tutti condannare questo terribile comportamento”.

Il caso è emblematico e mostra come in Israele si faccia ancora fatica a considerare alla pari vittime arabe ed ebree della violenza a sfondo razzista. Come spiega il quotidiano Haaretz, infatti, “come per altri casi in cui estremisti ebrei hanno picchiato gli arabi, l’incidente non è stato riconosciuto immediatamente come attacco terroristico”. Se così fosse stato, continua l’articolo, “l’Istituto nazionale di Assicurazione avrebbe coperto i costi del ricovero e le autorità fiscali avrebbero coperto qualsiasi danno finanziario subito”. Invece Hassom ha dovuto pagare per il pronto soccorso, il ricovero e, dulcis in fundo, persino per l’ambulanza che lo ha trasportato al nosocomio.

“Un conto che equivale al suo salario mensile da soldato” ha dichiarato il padre Ramzi ai giornalisti. “Ma – ha continuato – non è una questione di soldi: se fosse stato un ebreo israeliano a essere stato picchiato, cosa sarebbe successo? Gli assalitori si definiscono ebrei, ma in realtà non lo sono”. L’organizzazione Tag Meir, che opera contro ogni forma di razzismo in Israele, è della stessa opinione: “Avremmo il coraggio – si è chiesta in un comunicato, esortando il Magen David Adom, proprietario dell’ambulanza, a inviare il conto di Hassom all’Istituto nazionale di assicurazione – di inviare una fattura dell’ambulanza a un ebreo attaccato da arabi per motivi nazionalisti?”.

Se le istituzioni, in teoria, dovrebbero garantire a tutti i cittadini israeliani uguale trattamento, nella pratica la minoranza araba viene discriminata in molti settori, dal lavoro all’organizzazione politica. E anche i drusi, che per volere di Tel Aviv sono distinti dagli altri arabi persino nei documenti e sono gli unici a servire nell’esercito, pagano il prezzo delle regole democratiche israeliane.

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Résultats (Français) 1:

Les attaques racistes à Jérusalem ne sont pas tous égaux. Je sais que Tommy Hassom, 21 ans, Drusus avec la citoyenneté israélienne, qui la semaine dernière, a été agressée et battue sauvagement par certains extrémistes juifs parlant arabe avec un ami. Ainsi que les documents de décharge, en effet, le garçon se trouve hors de l'ambulance qui le conduisit de la station de bus à Jérusalem à l'hôpital Hadassah : 475 shekels (environ 120 $), une gifle à la face à une victime de ce que les autorités israéliennes s'appellent une "attaque terroriste".L'histoire de Hassom, qui vient de terminer son service militaire où il a servi dans une unité spéciale protégeant le palais présidentiel de Kfar Druze, est devenu un cas en Israël. Né à Daliyat al-Karmel, une ville Druze de majorité près de Haïfa, jeune déménage à Jérusalem après son service militaire pour assister à l'Académie de musique et de danse. Une semaine auparavant, sortie de l'hôtel où il travaille, parlait avec un de ses amis en arabe quand il a été encerclé par un groupe de garçons dont il a reconnu que les Juifs « qui exploitait la kippa ».Après le harcèlement verbal initial, ils ont crachant et ont roué de coups avec des bouteilles de verre jusqu'à ce qu'il a réussi à s'échapper vers la gare routière, où certaines personnes ont protégé et appelé une ambulance. Elle s'est tenue deux jours à l'hôpital de ses blessures dans tout le corps et doit retourner pour une opération sur le nez. Le chef de l'Etat Reuven Rivlin a posté sur sa page Facebook une photo prise avec le garçon, déplorant l'attaque à une personne « tellement attachée à ce pays ». « Nous sommes tous frères – a écrit le Président israélien – et nous devons tous condamner ce comportement terrible ».L'affaire est symbolique et montre qu'Israël est toujours en difficulté à considérer comme des arabes et des Juifs victimes de la violence raciste. Comment expliquez-vous le quotidien Haaretz, en fait, "en ce qui concerne les autres cas où les extrémistes juifs ont battu les arabes, l'incident a été pas reconnu immédiatement comme un attentat terroriste." Si elle avait été, l'article se poursuit, « l'Institut National d'assurance couvrirait les frais d'hospitalisation et l'administration fiscale aurait couvert tout dommage financier subi ». Hassom au lieu de cela a dû payer pour la salle d'urgence, d'hospitalisation et, dulcis in fundo, même pour l'ambulance qui le conduisit à l'hôpital.« Un compte qui est l'équivalent de son salaire mensuel de soldat, » dit reporters Ramzi père. « Mais – poursuit-il – il n'est pas une question d'argent : si c'était un juif israélien d'être battues, qu'arriverait-il ? Les assaillants se disent Juifs, mais en réalité, ils ne sont pas. » Organiser des Tags Meir, qui opère contre toutes les formes de racisme en Israël, est du même avis: « nous osons – il est affirmé dans un communiqué, exhortant le propriétaire d'ambulance Magen David Adom, à envoyer la facture à l'Istituto nazionale di Hassom assurance – envoyer une facture de l'ambulance à un juif, attaqué par les arabes pour des raisons nationalistes? ».Si les institutions, en théorie, devraient s'assurer que tous les citoyens israéliens égalité de traitement, dans la pratique les arabes minoritaires est victime de discrimination dans de nombreux domaines de travail de l'organisation politique. Et aussi les Druzes, qui, à l'instigation de Tel-Aviv, se distinguent des autres Arabes même dans les documents et sont les seuls qui servent dans l'armée, payer le prix des règles démocratiques israéliens.-Voir plus à: #sthash. QDS5fPtX http://nena-news.it/non-si-smette-mai-di-essere-arabi/. dpuf

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Les attaques racistes, à Jérusalem, ne sont pas tous égaux. Tommy sait Hassom, 21, les citoyens druzes d'Israël, qui la semaine dernière a été attaqué et roué de coups par des extrémistes juifs de langue arabe avec un ami. Avec les papiers de décharge, en fait, le garçon a également été constaté le compte de l'ambulance qui l'a transporté à la station de bus à l'hôpital Hadassah de Jérusalem: 475 shekels (environ 120 $), une claque dans la face à une victime de ce que les autorités israéliennes se appellent une «attaque terroriste». L'histoire de Hassom, qui vient de terminer son service militaire où il a servi dans l'unité spéciale druze Herev garde du palais présidentiel, est devenu un cas en Israël. Né en Daliyat al-Karmel, druze de la majorité du village près de Haïfa, le jeune homme se installe à Jérusalem après son service militaire à assister à l'Académie de Musique et de Danse. Il ya une semaine, est sorti de l'hôtel où elle travaille, elle parlait avec un ami en arabe, quand il a été entouré par un groupe de garçons qu'il a reconnues en tant que Juifs »qui portait une kippa." Après la première harcèlement verbal, ils ont cracher et le battre avec des bouteilles de verre jusqu'à ce qu'ils ont réussi à échapper à la station de bus, où certaines personnes ont protégé et a appelé une ambulance. E 'a eu lieu deux jours à l'hôpital de ses blessures dans tout le corps et de se installer de retour pour une opération sur le nez. Le chef de l'Etat Reuven Rivlin a posté sur sa page Facebook une photo prise avec le garçon, déplorant l'attaque contre une personne "de sorte lié à ce pays." "Nous sommes tous frères - écrit le président israélien - et nous devons tous condamner ce comportement horrible." Le cas est typique et montre comment Israël devra faire face plus difficile à envisager sur les victimes arabes et juifs nominale de violence raciste. Comme l'a expliqué le journal Haaretz, en fait, "comme dans d'autres cas où les extrémistes juifs ont battu les Arabes, l'accident n'a pas été immédiatement reconnu comme une attaque terroriste." Si tel était le cas, l'article poursuit: «l'Institut national d'assurance couvrirait les frais d'hospitalisation et les autorités fiscales couvrirait toute perte financière." Au lieu Hassom a dû payer pour la salle d'urgence, l'hospitalisation et, last but not least, même pour l'ambulance qui l'a transporté à l'hôpital. "Une chose qui est équivalent à son salaire mensuel comme un soldat", a déclaré le père de journalistes Ramzi. "Mais - at-il poursuivi - ne est pas une question d'argent: si ce était un Juif israélien à avoir été battu, ce qui se passerait? Les attaquants se appellent Juifs, mais en réalité ils ne sont pas ". L'organisation Tag Meir, qui travaillent contre toutes les formes de racisme en Israël, est du même avis: «Nous aimerions avoir le courage - il est affirmé dans un communiqué, exhortant le Magen David Adom, propriétaire de l'ambulance, à rendre compte de Hassom Institut national d'assurance - d'envoyer une facture à un Juif d'ambulance attaqué par les Arabes pour des raisons nationalistes "?. Si les institutions, en théorie, devraient se assurer que tous les citoyens israéliens l'égalité de traitement, dans la pratique, la minorité arabe est victime de discrimination dans de nombreux domaines, du travail dans la politique. . Et même les Druzes, qui, à la demande de Tel-Aviv se distingue des autres Arabes, même dans les documents et sont les seuls à servir dans l'armée, payer le prix des règles démocratiques israéliennes - Voir plus: http: // nena-nouvelles. fr / pas-vous-ne-se arrête-à-être-arabe / # sthash.QDS5fPtX.dpuf

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Les attaques sur un raciste, à Jérusalem, ne sont pas toutes les mêmes. Comme vous le savez bien Tommy Hassom, 21 ans, Drusus ayant la citoyenneté israélienne, qui, la semaine dernière a été attaqué et roué de coups par certains extrémistes juifs d'avoir parlé en arabe avec un ami. Avec les cartes de la décharge, en fait,