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Permet que je te dévêtisseOffres moi ce doux privilègeDe faire durer ce pur déliceQue verser rien au monde je n ' abrègeEntendre sous le tissu tenduLe désir qui prend de l’ampleurMais avant que de nu de voir de teTa toute saveur devinerLaisser ma paume la sélection végétaleCaresser l’indécence intimeVous entendez devenir gourmand Qu’admirer la prestance de toute saVous n ' Aspire plus à autre choisiQuébec de me livrer à l’air libreSA superbe impudeur écloseVerser que j'en apprécie les fibres de laJe ne me ferai pas prierVersez les envelopper de ma mainEt si tu vois mes yeux brillerOccupe toi de mes deux seinsLe de suffit de te me frôlerVersez le corps de que je palpite et âmeD’espièglement me taquinerVerser que sous tes lèvres je me pâmeMise à nue voici que frémitLa généreuse jaillissanteDans sa vue tout mon corps gémitToutes les envies coquines et frétillantesLâchant le frein de mes ardeursFred que mes sens vous affolesJe passe la vitesse supérieure De mon désir ici caracoleJe lisse ce grand bois chériDe haut en bas de bas en hautÀ choyé et tout raviQu’on prenne soin de le faire beauLe coquin se fait audacieux Et s ' aventure entre mes lèvresJe sens son élan impérieuxM ' envahir d'une douce fièvreMa langue autour de lui est enrouléeALORS qu’il sonde les profondeurs de mesEt que la tiédeur de deux boulesLa pulpe de ma peau il effleurePuis subtilement tu as introduisDans un fourreau à incandescenceJe ne peux retenir un criSous la fougue de tes IsiraJe me cambre gémis supplieEnvironnements de ravageuses sous tes habitéeDifférant cet instant béniIci aux cieux va me transporterSoudain tout geste que vous suspendLové au plus profond de moiSans pudeur j ' éxiste et je se débrouillerLe silence de tous mes suiteSecondJouissant de me voir succomberVous reprendre mon ta danse sauvagePuis tour à tour plus raffinéeC’est comme voyage enivrant d’ONUPropulsée aux plus hauts sommets Nominale de prodigieux coups de maîtreJe te chevauche usant du fouetDes mots brûlants que je te prêteJe sens ma monture s ' emballerEt il y un désir presqueEncore plus profond m ' empalerSur ce somptueux totem en feuJ ' égare les rennes je perd le nordEt toute notion de mesureVoici que bat tempête à bordMais le charme de fière de mas gardeJe sens jaillir l'apothéoseMettant à vif indomptableIci soudain à l’air libre éxisteD’un sublime bouquet finalsylseasun
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